Aujourd’hui, je vous propose une histoire, une légende tirée d’un petit livre d’histoires à méditer 😉
Il était une fois un vieux maître qui dans sa cellule d’ascète ne disposait que d'un lit de camp et d'un manuscrit qu'il conservait dans un coin de la pièce soigneusement enveloppé dans une étoffe de tulle. Ses disciples lui parlaient souvent de ce manuscrit car il avait sévèrement interdit à tous de le feuilleter, chaque fois qu'ils lui posaient des questions à son sujet il se limitait à répondre : « tout ce que je sais, je l'ai appris par lui, c’est un objet très sacré, il m'a été donné par un grand sage qui avait passé de nombreuses années à méditer dans une caverne. J’ai tout appris de lui ».
Plusieurs années s'écoulèrent ainsi. Ses disciples ne manquaient pas de lancer d'avides coup d'œil au manuscrit sacré, gisant sur le plancher dans un coin de la pièce, enveloppé d'étoffe empoussiérée.
Un jour le maître mourut. L'instant d'après, tous les disciples se précipitèrent sur le manuscrit, anxieux de découvrir la clé secrète de la félicité intérieure et de la sagesse, croyant que de cette façon ils s’éviteraient bien des efforts et des nuits blanches.
Ils arrachèrent fébrilement la tulle de manuscrit. Ils ouvrirent celui-ci et commencèrent à feuilleter ses pages. Ils se rendirent compte avec stupéfaction qu'elles étaient toutes vides. Arrivés à la dernière page, et rien que là, ils trouvèrent une phrase. Ils la lurent fiévreusement. Elle disait. « Lorsque vous ne serez plus asservis aux limites que vous impose votre esprit, que vous en serez libre, tout comme les pages qui précèdent, alors vous aurez trouvé le bonheur véritable. Mais pour l'atteindre, vous devez vous efforcer, jour après jour, de pratiquer vos exercices spirituels sans jamais fléchir. J'ai reçu ce manuscrit de mon maître. Toutes les pages, y compris cette dernière, étaient vides.
Par la suite, j'ai compris l'enseignement qu'elles renfermaient. J’écris ces lignes au cas où vous ne seriez pas assez sagaces, car je suis certain que vous les lirez avant que mon corps ne soit redevenu poussière. »
Voilà la fin de cette histoire qui appelle la question suivante :
Etes-vous assez sagaces pour la comprendre, cette histoire ?
Elle nous invite en effet à nous reprogrammer et à repousser les limites que notre esprit nous a imposé à l’incarnation, au travers de notre histoire familiale, sociale et de toutes ces choses que nous devons ranger dans notre besace, portée sur notre dos. Cette besace du souvenir jamais plus la regarder ni s’y attacher, il est bon. Mais cela est possible si les leçons ont été comprises, apprises et surtout accepter…sinon…on refait un tour de Vie.
Vous avez compris ?
Ceci est un enseignement profond bien connu.
Brisez ces chaines ne revient pas à casser ce que d’autres ont construits par leurs labeurs. Non, je ne pense pas que cela soit constructif. Car il faudra contrebalancer, compenser ou réparer. Dans le même temps pour construire le nouveau, il faut « mourir l’ancien » ou le transformer puisque rien ne se perd. Transformons donc sans abîmer et concentrons nous sur notre Lumière car à côté il se passe de très belles choses.
Dans mon article des prévisions de mars 2019, l’oracle dit: Le Juge PEUPLE vient du témoin passé PEUPLE et témoin futur PEUPLE. Débandades et multitude sont ici « régnantes », espérons qu’il ne s’agisse pas de la prise de l’Elysée !
Le relire ici
Incroyable et conforme. La géomancie a indiqué les risques et les événements dans l'essence symbolique des semaines passées…voyons ce qu’avril va nous procurer en ambiance : je vous propose de nous retrouver pour cela la semaine prochaine 😉
En attendant, profitez en bougeant, communiquez c’est ce qui est demandé en ce moment : Dîtes le !
Belle semaine à tous et pensez à vous partagez et sur les réseaux sociaux.
Sandrine